| Récit de soumis

Bernadette raconte... Comment libérer un prépuce coincé en cage ?

Avez-vous déjà vécu ça ?!

Un soir de janvier. Je regardais tranquillement la TV quand j’ai senti une gêne sous ma petite culotte. Une gêne qui se transformait en douleur quand je bougeais. Alors j’ai baissé ma culotte pour regarder. Et j’ai vu un truc que je n’avais jamais vu/vécu ! Un petit morceau de mon prépuce s’était subrepticement glissé à travers le petit trou « urinaire » du tube de ma cage et formait une boursouflure à l’extérieur de la cage… Mais comment donc cela s’était-il produit ?! Mystère… De suite, j’ai essayé d’ôter ma cage mais tirer sur le tube n’avait comme résultat que d’étirer la peau de ma nouille ☹ La boursouflure était dure, compacte et son diamètre était bien plus important que celui du trou.

Moralité : tirer ne faisait qu’augmenter la douleur… 😣

Je me suis donc dit que je devais m’y prendre autrement. Il fallait faire dégonfler ! J’ai donc été dans mon congélateur où pour seuls glaçons je n’avais que des cubes d’urine ☹ (que Maitresse me demande de garder au frais pour mes apéros d’été pour la petite histoire…). Bon ben, pas le choix ! J’ai donc appliqué lesdits glaçons pendant quelques minutes sur le bout de prépuce « en fuite » (sic). Mais là aussi, sans résultat. Ca ne voulait pas dégonfler, j’ai à nouveau essayé de tirer, rien n’y faisait !

Et c’est là que j’ai commencé à sérieusement stresser. Je me suis vue débarquer aux
urgences et dire à l’infirmière de garde que j’avais un « petit souci ». J’étais déjà en train de réfléchir à comment j’allais bien pouvoir dire les choses et de penser à la honte que j’allais ressentir… ☹

Puis je me suis dit que je devais me calmer, qu’il y avait forcément une solution. Inspirer. Expirer. Inspirer. Expirer. Inspirer. Expirer. Il faut que ça dégonfle, sinon c’est l’hosto ! Et si le froid n’a pas marché, peut-être que le chaud fonctionnera. Voilà c’est ça je dois me détendre ! Alors j’ai fait couler un bain bien chaud, attendant patiemment que ça se remplisse avec le tube qui pendouillait au bout de ma nouille, retenu par ce fichu bout de prépuce ! Si le ridicule tuait, je n’aurais pas survécu… 
Une fois la baignoire à niveau, je me suis glissée dans l’eau. Après quelques minutes, j’ai de nouveau tenté de tirer sur le tube mais toujours sans résultat. Tu dois être patiente, me suis-je dit. Et ne pas penser à ta nouille. Détends-toi bon dieu ! Et au bout d’un quart d’heure environ, quand j’ai posé mon doigt sur ma « boule de prépuce » j’ai senti que c’était plus flasque. Alors – enfin !! – la peau a accepté de faire le chemin du retour et de repasser par le petit trou. Quel soulagement !

Je ne doute point que Vous auriez préféré que je dusse aller à l’hôpital Maitresse (hi hi) mais j’espère qu’au vu des circonstances, Vous me pardonnerez mon égoïsme !!

Bernadette,

Janvier 2025