Le 12 janvier 2024
Alors, que s’est-il passé dans le sauna de Niort en ce vendredi après-midi du 12 janvier 2024, alors que la grande Maîtresse Léa y a envoyé une de ses putes…Tout d’abord, Maîtresse, je ne Vous ferai pas un récit, totalement, chronologique. L’enchaînement des bites a été tel, que j’ai un peu de mal à m’y retrouver. Je vais donc Vous conter quelques moments, les plus marquants, Maîtresse. Évidemment, tout est véridique… J’ai souri, lorsque le monsieur, à l’entrée, m’a tendu la clef du vestiaire en me souhaitant bonne baignade. Je ne suis pas venue pour cela, pas du tout… Avant de me déshabiller, je commence par mettre un peu de rouge à lèvres, comme Vous me l’avez demandé, Maîtresse. Pas facile, dans un vestiaire sombre et sans miroir. De toute manière, dix minutes après, il ne devait pas m’en rester beaucoup… Une fois nue, je passe à la douche, histoire de me soulager. Le petit pipi de stress… Comme la dernière fois, je me rends dans le petit réduit destiné au glory hole. Voici quelle a été ma réflexion, Maîtresse : ce sont surtout des petits vieux avec un peu, voire beaucoup d’embonpoint qui circulent au sauna. Alors, non pas que je sois jeune et svelte, que nenni, Maîtresse, mais par rapport à eux… enfin, bon, tout est relatif, comme disait l’autre. Je pense, donc, que lorsque j’attendais dans la salle avec le téléviseur, ces messieurs devaient s’imaginer que je ne voudrais pas d’eux. En fin de compte, la cloison entre nous, favorise les échanges. Étonnant, n’est-ce pas… Je m’installe donc, avec ma réserve de capotes et mon lubrifiant. Je commence par m’oindre la rondelle, sans lésiner sur la quantité, et je m’allonge à proximité des trous. Une ou deux minutes plus tard, ça s’agite de l’autre côté de la cloison. Un œil m’observe durant quelques secondes, Maîtresse, je souri. C’est, ensuite, un gland qui remplace l’œil. Vous imaginez bien que je suis aux anges. Allez, au boulot Davina, montre de quoi est capable une pute appartenant à Maîtresse Léa. Je ne me laisse pas prier. J’ai dû exciter monsieur car je dois commencer par nettoyer le précum coulant de son urètre. Lorsque je le prends en bouche, il est encore assez mou, ce qui ne va pas durer. Et là, Maîtresse, au fur et à mesure qu’il durcit je me vois obligée d’ouvrir de plus en plus les mâchoires. J’ai du mal à croire que ce soit possible. Sa queue est énorme. Je pensais que ça n’existait que dans les pornos. Je ne me démonte pas et comme d’habitude je fais tout mon possible pour tenter de le faire jouir. Rapidement il me vient à l’esprit qu’il voudra peut-être me la mettre par derrière. Je suis partagée entre l’envie et la peur. Un monstre pareil me ravagerait la chatte, Maîtresse. Par moment, il perd un peu de sa forme, puis ça revient. Cela va durer quelques minutes, mettant mes muscles, dès le début à rude épreuve. Il finit par se retirer sans avoir joui, tant pis. Une autre bite fait aussitôt son apparition. J’enfourne. Je suis surprise car, si elle n’est pas aussi impressionnante que la précédente, c’est tout de même un sacré morceau. Je me demande où suis-je tombé, moi, avec ma petite nouille dans ma petite cage. Enfin bon, c’est reparti. Je lèche, je pompe, et je le laisse baiser ma bouche. Lui aussi, se retire sans juter et en étant resté moins de temps. Je me masse un peu les maxillaires, et, en me retournant je vois un petit pépé tout poilu, les soixante-dix ans révolus. Je n’avais pas remarqué qu’il était rentré dans cette pièce minuscule. Il attendait sagement que je finisse. Il me glisse une main entre les jambes et tombe sur ma cage. Il me regarde, un peu surpris en me disant qu’il se proposait pour me sucer. Je lui réponds que je n’y ai pas le droit. Un peu déçu, il me dit que je l’avais, moi-même, bien sucé mais qu’il ne voulait pas jouir tout de suite. Là, je comprends que le petit bonhomme que j’ai devant moi, est le détenteur de l’énorme engin. J’en reste coi. La nature est parfois surprenante. Il compte revenir vers moi plus tard. Il semble triste pour moi, il n’a pas idée que je puisse être heureuse d’avoir abandonné ma sexualité à ma Maîtresse. J’ai le droit à un peu de répit, pas bien longtemps. J’en profite pour récupérer le précum qui s’écoule de ma cage en me disant que je suis devenue une sacrée putain de salope… C’est dingue, ce que Vous avez fait de moi, Maîtresse. À partir de là, la succession des événements reste floue, mais je pense, qu’en tout, sept ou huit types se sont amusés avec moi. Sur l’heure et demie où je suis restée au sauna, je n’ai pas eu beaucoup de pauses. Il y a eu le quart d’heure, à la toute fin, où j’ai profité de l’étuve et de la douche…Voici, donc, quelques moments choisis, Maîtresse.
Tout d’abord, le gars, un peu plus communicatif. Derrière la cloison, il me demandait si j’aimais la bite, si je voulais du “jujus”, si j’avalais, si je prenais du “jujus” dans mon cul. Il me demandait de lui lécher les couilles, et régulièrement me disait que j’étais une salope. J’acquiesçais, la bouche pleine, tout en gémissant, histoire de l’exciter davantage. Alors que j’attendais son “jujus”, lui aussi, va se retirer sans jouir. Le petit pépé, bien monté, est de retour. Malgré la cloison j’ai, de suite, reconnu sa bite. Facile… Après en avoir profité un peu, il fait le tour pour me retrouver. Je sais pourquoi, Maîtresse, Il veut que je le prenne en gorge profonde. Je descends de la couchette, je m’agenouille, j’attrape ses cuisses toutes poilues et je m’exécute. Il attrape ma tête et fourre son énorme queue au fond de ma gorge. C’est un peu rude. Il rigole en me demandant s’il m’étouffe. Je lui réponds qu’elle est énorme. Heureusement elle n’est pas trop longue et j’arrive à l’avaler, quasi, entièrement. Après quelques temps je l’entends jouir, mais à part du précum, pas de sperme. Il m’explique qu’il a été opéré, qu’il peut jouir, mais qu’il ne peut plus verser de foutre. Il a pris du plaisir et c’est le principal. Il me congratule, il semble très content de moi et s’éloigne.
Alors que j’étais en pleine fellation, un gars, particulièrement entreprenant, monte sur la couchette et me fourre un doigt, puis m’écarte les fesses et me bouffe le cul. C’est une première pour moi, Maîtresse. Je sens sa langue rentrer dans mon petit trou. C’est rigolo. Il finit par m’embrasser dans le cou et me glisse à l’oreille qu’il reviendra. Je lui réponds “avec plaisir”.
Celui qui vient m’a beaucoup excitée, Maîtresse. Il va jouer avec moi. Il a commencé à me présenter que le bout de son gland, m’obligeant donc à sortir ma langue. Je lape consciencieusement son petit bout et d’un coup il vient taper le fond de ma gorge. J’effectue quelques va-et-vient en serrant bien mes lèvres autour de son sexe, et il se retire de ma bouche. Je vois toujours sa bite à travers le trou. Il la secoue un peu. Je comprends qu’il me faut aller la chercher, ce n’est donc plus lui qui passe son membre par le trou mais moi qui y passe ma langue. Il recule encore un peu. Je fais mon possible pour m’approcher. Le bout de ma langue balaye l’air, mais il finit par, m’y déposer son gland et y frotter, délicatement, son frein. Vous devez deviner la suite, Maîtresse. Il va de nouveau s’engouffrer en moi. Ce petit jeu va durer et, si je ne peux l’expliquer, cela m’a beaucoup plu. Lorsqu’il en aura fini avec moi, lui aussi sans jouir, je remarquerai que mes mains ont laissé des traces de sueur sur la cloison et que ma salive s’écoule du trou. Il n’y a d’ailleurs pas que cela qui coule. Mon clito est trempé de précum, Maîtresse.
Le prochain me semble plus jeune, en tout cas, lui n’aura pas de coup de mou. Je vais le sucer, tout comme il faut. Il se retirera parfois pour se branler un peu puis reprendra sa place. Après quelques minutes, je l’entends grogner. Il enfonce bien sa queue, elle a un premier soubresaut, et enfin, il se répand en moi. Je ressens le goût acidulé de son foutre. Je ferme mes lèvres. Il me remplit la bouche. Du sperme s’écoule par l’une de mes commissures et dégouline sur ma joue, je l’entends tomber sur la couchette. Vous êtes avec moi, Maîtresse, à m’encourager à le vider jusqu’à la dernière goutte. Je vais en avaler un peu et je vais garder son goût en bouche jusqu’au repas du soir. C’est une victoire pour moi. Je n’ai pas le temps de nettoyer la couchette que le type, qui précédemment me bouffait le cul, s’allonge sur moi et me demande si l’on vient bien de jouir dans ma bouche. Oui, lui réponds-je, et sa langue va à la rencontre de la mienne pour y chercher des traces. Beurk, j’aime beaucoup moins cela. C’est étrange, Maîtresse, cela fait près d’une heure que je suce de la bite, on vient d’éjaculer dans ma bouche, mais je n’ai aucune envie qu’un mec m’embrasse. C’est fou…
Après tout cela, Vous allez me dire, mais qu’en est-il de ma chatte… alors, voilà. J’ai remarqué, qu’à plusieurs moments, une tête apparaissait pour voir ce qui se passait dans ce petit réduit. Et, je Vous avoue que j’attendais que quelqu’un s’occupe un peu de mon petit orifice. Alors en attendant qu’une nouvelle bite se présente par l’un des trous, j’ai changé de position d’attente. Je me suis mise en position de levrette, sur les coudes, le dos bien cambré, le cul bien relevé, ma chatte exposée et bien huilée. Le message ne peut être plus clair. Ça ne va pas manquer, Maîtresse. Un gars va se placer derrière moi. Je l’ai à peine entendu arriver. Par contre je vais bien sentir son doigt entrer en moi. Puis un deuxième doigt. Il va, ainsi, me doigter, sans ménagement, aucun. Là, je prends mon pied, même si c’est un peu douloureux. Je gémis, de plus en plus fort. Je suis certaine que l’on m’entend jusqu’à l’autre bout du sauna, mais je m’en fous. Je le laisse s’amuser avec ma chatte sans jamais jeter un regard en arrière. Je n’ai aucune idée de qui m’a si bien défoncé. Je vais rester ainsi, un petit moment, haletante et la chatte bien ouverte. Malheureusement, personne n’y plantera son sexe. Mais j’ai eu mon compte. Il est certain que, si j’avais eu le droit à ce traitement dès mon arrivée, j’aurais joui, Maîtresse. Ouf…Pardon, Maîtresse, c’est un peu sale, mais je sais quand on m’a bien travaillé la chatte. Je dois vite aller aux toilettes en rentrant… Voilà, il ne me semble pas avoir oublié grand chose, Maîtresse. Je suis ressortie, j’ai allumé ma clope d’après une bonne baise, les lèvres encore collantes et satisfaite de mes performances. Je suis une pute à Maîtresse Léa.
Merci Maîtresse et Davina pour ces récits. Il a fallu que je contienne a certains moments pour ne pas juter
Merci encore
Merci pour ce récit terriblement excitant.