| Récit de soumis

Les comptes rendus des vadrouilles au sauna, par Davina, l'une des putes de Maîtresse Léa.

Bonjour à toutes et à tous, permettez-moi de me présenter. Maîtresse Léa m’a nommé Davina, et j’ai la chance d’être devenue l’une de ses catins.

En Lui abandonnant ma sexualité,  Elle a fait de moi, pauvre branleur hétéro, une pute à bites, heureuse d’être la salope que je suis à présent. Vous pourrez constater, au fur et à mesure des récits qui suivent, mon évolution. Récits, qui sont les comptes rendus, les plus exacts possibles, de mes différents passages au sauna. Récits, que, bien sûr, je rédigeais pour Maîtresse Léa.

Je tiens à remercier Maîtresse Léa, d’avoir l’opportunité de pouvoir publier mes aventures sur Son site.

Quel bonheur de pouvoir vivre à Ses Divins Pieds.

Bonne lecture…

Ce premier texte relate mon deuxième passage au sauna. Je n’ai pas fait de compte-rendu du premier, celui où j’ai perdu ma virginité. Je le ferais si Maîtresse Léa me le demande, je m’en souviens assez bien, on n’oublie rarement les premières fois… J’étais, un peu, surprise que Maîtresse Léa me demande d’y retourner aussi vite, car cela ne faisait qu’une dizaine de jours que je sortais du sauna précédent. Mais, Maîtresse Léa a toujours raison, il  faut battre le fer tant qu’il est encore chaud. De toute façon, je lui obéis, Elle sait ce qui est bon pour moi. Ce sauna n’est pas le même, je vais l’adopter car plus proche de chez moi et plus sympathique.

Le 25 février 2023

Alors, que je Vous raconte mon samedi après-midi au sauna, Maîtresse. J’ai été agréablement accueillie, cette fois-ci par une dame. C’était un peu moins guindé que l’autre sauna. Il y avait beaucoup d’hommes et deux femmes. Ce qui m’a tout de suite marquée, Maîtresse, c’est que la plupart étaient vieux ou obèse et très souvent les deux à la fois. Vous n’allez peut-être pas me croire mais je faisais partie des plus sveltes et de loin… comme quoi, tout arrive.

Je me suis mise nue, avec ma cage et mon vernis au pieds. Cette fois ci, ça n’a pas eu l’air de surprendre grand monde. Faut dire qu’il faisait sombre et j’imagine que beaucoup n’y voyaient plus grand chose. J’ai juste surpris un regard amusé d’une jolie femme, hi hi.

Après avoir fait le tour du site, je suis rentrée dans le sauna à proprement dit, l’étuve. Il y avait un gars imposant, dans les 140kg. J’engage la conversation, du style : ça fait du bien du chaud par ce temps. La météo, toujours la météo… Nous discutons et il remarque que je suis lisse. Je lui dis que je viens là pour la première fois et que j’espère faire des rencontres. Lui me répond que l’idéal est de ne pas repartir bredouille mais tout dépend avec qui… c’est là que je lui rétorque que pour moi, cela n’a pas d’importance. Je lis l’espoir dans ses yeux.

C’est le moment d’aller sous la douche. Je lui tourne le dos et très rapidement ses mains commencent à me caresser. Ni une ni deux je lui attrape ce qui pend entre ses jambes. Son souffle s’accélère et il me demande, à l’oreille, si nous pouvons nous isoler. Avec plaisir lui réponds-je, hi hi. Je suis contente, cela fait tout juste un quart d’heure que je suis arrivée et j’ai déjà une touche. Nous nous séchons rapidement et allons dans la petite pièce, avec la caméra au plafond, sous le regard ébahi de quelques personnes. Ce que j’aurais aimé que Vous puissiez avoir accès à cette caméra, Maîtresse. Je ferme la porte sans la verrouiller. Le mastodonte s’allonge sur la couchette. Son sexe est flasque, je sais ce qu’il me reste à faire. Je me place entre ses cuisses et je le prends en bouche. Rapidement sa bite prend un peu de volume. Je le suce, ma langue s’entortille autour de son gland. Je le branle et l’avale profondément. Il grogne, gémit, me demande mon prénom et me répète que je suis une bonne suceuse. Ainsi encouragée, je le pompe de plus belle. Quelques têtes passent par l’entrebâillement de la porte pour voir ce qui s’y passe. Je joue mon rôle de pute du mieux que je peux. Mon partenaire ahane, je le sens particulièrement excité. Il me demande de m’allonger à mon tour. Il me monte dessus et frotte sa queue contre ma chatte. Je suis, moi aussi, très excitée… Le bonhomme est sur moi, il m’embrasse, je ne l’avais pas prévu mais dans le feu de l’action, je le laisse faire, hi hi. Il se relève et tout foufou, il s’agrippe à mes tétons. Il me les tord dans tous les sens, même celui qui est percé. Sous la douleur, je gémis, ce qui l’excite davantage. Il descend de la couchette et s’agenouille pour me lécher les sacs à foutre. Je couine comme une salope. Enfin il se rallonge près de moi. Je n’ai plus qu’une idée en tête, c’est le faire durcir suffisamment pour lui enfiler une capote afin qu’il puisse me prendre. Je me remets donc à le sucer. Je donne vraiment tout ce que j’ai, Maîtresse. J’entends ses râles de satisfaction. Je le travaille ainsi dix bonnes minutes. Je vais même m’asseoir et me dandiner sur sa bite et je le reprends en bouche. J’avale son précum et je me dis qu’il va finir par me juter sur la langue avant même que je réussisse à le faire bander suffisamment, tant pis… et d’un coup, il me demande d’arrêter, qu’il n’en peut plus. Là, il me raconte qu’il sort d’un triple pontage, qu’il a des tonnes de médocs et qu’il faut qu’il fasse attention à son cœur. En gros, cette expérience a failli se finir en massage cardiaque…Pour en finir avec mon samedi après-midi, je suis restée une heure de plus à aguicher mon monde, mais je n’ai pas trouvé d’autres clients, Maîtresse. Je me couchais dans ce petit coin tranquille, jambes écartées et chatte offerte, mais soit je n’intéressais personne, soit personne n’était en capacité de me prendre. En fait, je n’ai pas vu une seule queue dressée, Maîtresse… tant pis. Le gars que j’ai sucé, lui, est reparti s’habiller aussitôt. Je pense qu’il était réellement content et qu’il ne s’attendait pas à tomber sur une salope comme moi. Je me suis dit que j’avais, en toute humilité, entièrement rempli mon rôle de pute en procurant du plaisir à quelqu’un qui, par son physique, n’attire pas les foules. C’est un avantage pour moi de ne pas être attirée par les hommes, Maîtresse, n’en trouvant aucun de beaux, je peux m’attaquer à n’importe quelle bite. Hi hi. Quand j’y repense, je m’étonne encore.

Vous m’avez bien dressée, Maîtresse.

Ma troisième visite au sauna, je dis sauna, mais c’est, en fait, un sex-shop avec par derrière un espace plus important, comportant, donc, un petit sauna, un bain à remous, un coin canapé avec un écran passant du porno, un bar et différentes petites pièces avec couchettes pour les parties de jambes en l’air. J’y retourne avec, encore, une petite appréhension, est-ce que tout va bien se dérouler, mais fière d’aller exercer mes talents, en tant que pute de Maîtresse Léa.

Le 10 mars 2023

Je me suis donc rendu au sauna le plus proche de chez moi. Le fait de déjà connaître l’endroit était rassurant. Cette fois-ci, c’était le patron qui était à l’accueil. Sympa aussi. Ce jour, il n’y avait que des hommes, Maîtresse. Je me suis déshabillée en entendant que ça baisait dure, pas loin. En passant devant la petite pièce où se trouve le fameux écran, j’ai vu trois gars en pleine action. Je suis d’abord passée sous la douche. En revenant, il ne restait plus qu’un type, couché en train de se masturber. J’ai demandé si je pouvais aider, hi hi. Il ne s’est pas laissé prier, Maîtresse. Je me suis donc retrouvée à quatre patte sur la couchette, chatte bien offerte, à le prendre en bouche. Mais cette fois-ci, j’ai eu le droit à une queue bien dure. Toujours avec Votre voix dans ma tête pour me conseiller, j’ai fait de mon mieux pour lui donner du plaisir. À entendre ses râles, je pense m’en être bien sortie, Maîtresse. Il n’arrêtait pas de me répéter que j’étais une bonne salope. J’ai senti d’autres mains se poser sur mon cul et quelqu’un a commencé à me titiller la chatte… Je pompe, je branle, je lèche en restant bien concentrée à ce que je fais. Les deux mains du gars que je suce se posent sur ma tête. Je sais à quoi je vais avoir le droit. Je le laisse me manipuler. Sa bite s’enfonce dans ma gorge, j’arrive à l’avaler jusqu’aux couilles. Il m’impose des petits va-et-vient jusqu’à ce que je doive reprendre ma respiration. Par derrière, je ressens des doigts cherchant à pénétrer mon intimité et l’on me tire sur les sacs à foutre. J’avoue, Maîtresse, qu’à ce moment, je suis très excitée. 

Le type, sur qui je suis penchée, m’attire vers lui. Il veut me lécher les tétons, et jouer avec. Je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois il faut que les gars s’en prennent à mes tétons si sensibles… j’ai même eu un peu peur qu’il m’arrache mon beau piercing tout neuf. Ses mains descendent, s’attardent un peu sur ma cage, et accède, enfin, à ma chatte. Il me masse violemment la rondelle. Je couine comme une bonne salope. Il veut entrer en moi mais je ne suis pas lubrifiée. Il force le passage et d’un coup, ce n’est pas un doigt mais deux, qu’il rentre. Et c’est là, Maîtresse, que je perds le contrôle. Ce mélange de plaisir et de douleur va me faire juter à peine plus de deux secondes après cette pénétration. Mon foutre s’écoule de ma cage sur son ventre. Je pense qu’il ne s’en est pas aperçu. Moi, je suis désœuvrée. Il ne faut pas que ma libido flanche. Heureusement, c’était un ruin. Ses doigts me fouillent, puis il me glisse à l’oreille : toi, tu veux qu’on te baise. Je réponds oui…Le type me renverse sur le côté pour se relever. Je me remets à quatre pattes. J’entends, derrière moi, le gars en train de mettre une capote. Il se rapproche, me claque les fesses bien comme il faut, puis m’oblige à me pencher davantage. Je suis sur les coudes, bien cambrée et offerte. Il se remet à me doigter et je peux Vous dire, Maîtresse, qu’il y va franco. Je crois qu’il me lubrifie à la salive. Quelqu’un me fait tourner la tête sur le côté, j’ouvre les yeux, une seconde bite se présente à moi. Je la prends en bouche. Par derrière, le vrai mâle tente de rentrer sa queue bien raide, en moi. Je suis trop serrée, si seulement je n’avais pas joui… il recommence donc à m’enfoncer ses doigts pour m’ouvrir. J’avoue que là, j’ai un peu de mal à me concentrer sur la bite que je suce et sur l’ouverture de ma chatte en même temps. Il va réessayer plusieurs fois. Il n’est pas dans l’axe. Je voudrais lui dire : plus bas, mais j’ai la bouche pleine.Il finit par entrer. C’est vraiment une belle queue. Il m’attrape par les flancs et me lime violemment. Je ne peux plus sucer, je ne suis qu’une poupée de chiffon. J’apprécie beaucoup… Au bout de quelques minutes, je l’entends jouir, Maîtresse, et il n’est pas discret. Je suis contente. Cette fois-ci, je suis sûre d’avoir fait juter un homme. Trois secondes plus tard, je me retrouve seule, sur le flanc, toute transpirante et la chatte en feu. Satisfaite…Voilà Maîtresse. ☺️

Et de quatre. Le petit salon dans lequel je me rends a un écran qui diffuse, alternativement, deux prises de vues. Il y a une caméra, devant la couchette et une autre au-dessus… C’est franchement excitant. Malheureusement, sans mes lunettes, ce n’est pas moi qui en profite le plus;

Le 5 mai 2023

Alors, Maîtresse, que je Vous raconte le passage au sauna. Rien d’exceptionnel mais vraiment sympa. Je ne me suis occupée que d’un seul homme, mais durant trois bons quarts d’heure. Il n’y avait pas grand monde, probablement qu’avec les beaux jours, les gens viennent un peu moins. Je faisais office de chair fraîche, malgré mon âge. Je rentre, je me déshabille, je vais prendre une douche et je me rends de suite dans la pièce où se trouve l’écran. Je lubrifie ma chatte, histoire d’être prête, Maîtresse. Une minute après un gars d’une soixantaine d’années approche. Il plaisante sur l’écran et pour tester ma réaction, me met la main au cul. Moi, je lui attrape la queue. Son visage s’illumine, Maîtresse. Il est tout de suite scotché par ma cage. Il n’avait jamais vu ça…Il s’allonge, je me mets à quatre pattes, cambrée et le cul bien en l’air espérant que quelqu’un d’autre vienne le prendre, ce qui ne sera malheureusement pas le cas. Je le prends en bouche et c’est parti pour une longue fellation. Il est très excité par mon corps, ce qui fait toujours plaisir, Maîtresse, et par cette histoire de cage. Il me pose des tas de questions, pas facile d’y répondre la bouche pleine, hi hi. Entre deux slurps, mes réponses font mouche. Je lui sort le grand jeu, du moins je fais mon possible, Maîtresse. Je pompe, je suce lentement puis rapidement, ma langue s’enroule autour de son gland et bien sûr je l’avale en gorge profonde. Il a du mal à croire que cela ne fait que trois mois que je suce de la bite. Cela dure vingt bonnes minutes, il finit par me demander, timidement, si je pratiquais, aussi, la sodomie. Bien sûr, lui répondis-je, hi hi. Il se relève vite pour passer derrière. Malheureusement, il ne durcit pas suffisamment pour me pénétrer correctement. Il va surtout se branler entre mes fesses. Par contre il va me travailler avec ses doigts et jouer avec ma chatte. Il adore ça et moi aussi, Maîtresse. Il me faut, par moment, calmer le jeu, de peur de jouir, Maîtresse. Je n’ai aucune idée du nombre de doigts qu’il a pu me fourrer à la fois, mais il m’a sacrément bien ouverte. Je vais aussi me retrouver sur le dos, les pieds sur ses épaules, Maîtresse. Il est heureux, il n’arrête pas de répéter qu’il ne s’attendait pas à cela en venant, ce jour, au sauna, hi hi. Et moi je jubile à l’idée que je fais la fierté de ma Maîtresse. Je finis en sueur, la chatte trempée et avec la cage dégoulinant de précum. Lui n’a pas joui mais il n’est pas prêt de m’oublier… nous discutons un peu et il doit partir. Je reste encore un peu, il ne reste vraiment pas grand monde et ma foi, Maîtresse, j’ai eu mon compte…Je sors, et me fais une cigarette d’après baise.

Et de cinq. Je commence à me sentir bien plus à l’aise. Moi, qui suis, d’origine, d’une grande pudeur, je ne ressens plus aucun scrupule à déambuler, devant tous ces hommes, nue, avec ma cage et mes pieds vernis. Je crois qu’il est évident que je viens, en ce lieu, pour prendre de la bite.

Le 9 juin 2023

Quand je suis rentrée, il n’y avait vraiment pas grand monde. Il faut dire qu’avec ces chaleurs, le sauna… Mais bon, je me déshabille et je file à la douche, j’en profite pour vider ma vessie. Avec le petit stress, j’ai toujours besoin de faire un petit pipi… 😂

Je me rends dans la pièce où se trouve l’écran, toujours la même. Dommage l’écran est éteint. Je lubrifie bien ma chatte, m’installe sur la couchette et j’attends… et j’attends. Il y a bien un petit papi, qui passe la tête plusieurs fois et que j’invite à entrer, mais il n’a pas encore l’air décidé. Je finis par m’allonger complètement, jambes relevées et écartées. La proposition semble claire, Maîtresse, hi hi. Le petit papi finit par rentrer. Il reste debout près de la couchette et commence à me caresser, profitant de mes cuisses toutes lisses. J’ai le droit aux sempiternelles questions sur ma cage. Entre temps, je l’attrape par la queue. Je n’avais pas encore remarqué, mais le petit papi est sacrément bien membré. Je n’avais jamais eu un tel engin entre les mains, ça fait une sacrée différence avec ce que j’avais à l’époque où je possédais un pénis, Maîtresse…Je le branle un peu, il durcit très vite. Je me rapproche du bord, il se décale un peu pour être au niveau de mon visage. Là, je me dis, c’est bon, tu peux passer en mode salope. Je le gobe. J’ai la bouche pleine. Tout de suite, je ressens sur ma langue son énorme gland qui coule. La quantité de précum qui s’écoule dans ma gorge est en adéquation avec la taille de sa bite. Ses mains se baladent sur mes fesses. Je m’installe davantage sur le ventre afin de laisser libre accès à ma chatte, Maîtresse. Ni une, ni deux, il introduit un doigt, facilement, dans mon trou bien lubrifié. Là, il faut que je commence à faire gaffe à ne pas jouir… 

Durant quelques minutes je fais en sorte de sucer du mieux que je peux, sa longue et épaisse queue, pas facile facile, Maîtresse… Un doigt fouille ma chatte et je sens qu’un autre cherche à s’y insérer. Je me dis que le petit papi veut, bien m’ouvrir, mais en jetant un coup d’œil derrière moi, je remarque qu’un autre homme est présent et c’est lui qui force l’entrée de mon petit trou, Maîtresse. Du coup, je me retrouve avec deux doigts, de deux gars différents, dans la chatte. Ça m’excite et je sens que mes sacs à foutre montent en pression… Je me contorsionne pour attraper la queue du second gars et le branler. Lui, est armé d’un calibre, que je qualifierais, plus proche de la normale, hi hi. Le petit papi va alors retirer son doigt afin d’attraper ma tête de ses deux mains et m’en faire baver, au sens propre comme au figuré. En bonne pute à bite, soumise, à Maîtresse Léa, je le laisse me baiser la bouche. Il s’enfonce aussi profond que possible dans ma gorge et y reste jusqu’à me provoquer des haut le cœur, se retire et s’y enfonce, encore et encore. Ma salive s’écoule. Heureusement, par moment, il me fait lécher le dessous de sa verge jusqu’à la base de ses couilles que je titille avec ma langue. C’est une première pour moi, Maîtresse. Cela me permet de reprendre mon souffle… Pendant ce temps le deuxième s’amuse, toujours, avec ma chatte. Je ne pourrais dire combien de temps je vais subir ce traitement, Maîtresse, mais je suis soulagée lorsqu’il relâche son étreinte. Soulagée mais très fière. Le deuxième gars est à genoux sur la couchette et je me retourne pour, enfin m’occuper de lui. Chacun son tour… Je présente au petit papi ma chatte, les cuisses écartées, espérant qu’il me pénètre avec son énorme engin. Je ne suis pourtant pas tranquille, non pas parce qu’il risque de me défoncer et fracasser ma rondelle, ça je peux le supporter, mais c’est la peur de jouir qui me tenaille, Maîtresse. En fin de compte, il s’éloigne. Il semble avoir obtenu ce qu’il voulait. Je me concentre donc sur le deuxième type. Et c’est reparti pour une autre pipe, hi hi. Là, j’avoue, c’est plus facile, mais après le traitement précédent j’ai tout de même un peu de mal à le prendre en gorge profonde. Je le fais tout de même, Maîtresse…Je vais très vite comprendre que lui, veut jouir. Son corps tremble sous mes coups de langue et il se retient. Je suce, je pompe et je branle. Je me prépare à recevoir son foutre en bouche, et là, alors que personne ne touche ni mon clito, ni ma chatte, je sens que je vais jouir, juste à cause de l’excitation procurée par le fait que je vais le faire juter… J’approche ma main pour recueillir mon sperme et au dernier moment, j’arrive à me retenir, Ouf. Quelques instants après le gars retire sa queue de ma bouche et se masturbe, juste au dessus. Ma langue titille la base de son gland. Il râle, ça y est, ça vient, Maîtresse, et j’ai le droit à ma première faciale… je ressens sa semence chaude couler sur ma joue et mon oreille droite. J’ai gardé la bouche grande ouverte et quelques gouttes vont tomber sur mes dents et ma langue. Le gars se détend, mais moi je n’ai pas fini. Je le reprends en bouche pour aspirer jusqu’à la dernière goutte. Vous m’avez éduquer à être une videuse de couilles, Maîtresse, et je prends mon rôle à cœur. Je l’entends suffoquer, il n’en peut plus. Il se retire d’un coup et s’enfuit, tellement vite que je n’ai même pas eu le temps de voir son visage. Je ne sais même pas à quoi ressemble celui qui m’a gentiment baptisé au foutre… je me retrouve, une fois encore seule, allongée et en sueur, la chatte humide, le précum suintant de ma cage, mais cette fois-ci, du sperme recouvre mon visage et remplit ma bouche. Un sperme qui n’est pas le mien. Je me sens souillée et j’aime ça. J’ai été une bonne pute, j’ai réalisé les désirs de ma Maîtresse et je suis aux anges. À présent que faire du foutre qui se balade sous ma langue. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, j’étais prête à l’avaler, mais j’ai préféré attendre, qu’un jour, ce soit Vous, qui m’en donniez l’ordre, que Vous puissiez être présente, lorsque pour la première fois, le jus d’un autre se déversera en moi et me transformera, ainsi, en un véritable réceptacle à foutre. J’ai donc laissé s’écouler cette liqueur de gland le long de mon menton jusqu’à ma poitrine. J’ai fini par me relever, je suis allée me doucher et suis partie. Je n’ai pas pris le risque de jouir en tentant quelqu’un à nouveau, hi hi. J’ai fait la route retour avec un drôle de goût en bouche, Maîtresse, celui que Vous vouliez que j’ai, comme une vraie pute.

Je suis une pute à bite à Maîtresse Léa et je suis fière et heureuse de sucer des bites en son nom.

Et de six. Cela fait un bon bout de temps que je ne me suis pas rendue au sauna, j’ai été pas mal occupée, mais j’ai surtout eu une santé un peu fragilisée, ça arrive. Après avoir repris du poil de la bête, j’ai repris les bonnes habitudes et le chemin vers la grande ville… Allez hop, au turbin.

Le 10 novembre 2023

Je me suis installée, une fois de plus, dans la petite pièce avec écran. J’ai attendu un peu avant qu’un gars ne rentre. Il a commencé à me caresser doucement et à attraper ma cage. Je me dis, chouette. Il me demande si je suis emprisonnée et en s’adressant à mon clito, il lui dit, pauvre bête et il se barre… je Vous laisse deviner ma déception. 😅 Alors j’attends, j’attends. Deux, trois têtes regardent à la porte et s’éloignent… et… j’attends. J’étais couchée, je fini par m’asseoir, en tailleur sur le bord de la couchette. Un autre homme rentre… Lui, aussi, commence par jouer avec ma cage et je le vois se branler. Je me dis “ma grande, ne laisse pas filer celui-ci, passe à l’action”. Ni une, ni deux, je lui attrape sa queue et je l’astique tout en l’attirant vers moi. Il se laisse faire et je n’ai qu’à me pencher pour le prendre en bouche. Me voilà toute excitée, je suis passée en mode salope. Cela fait quelques mois que je n’ai pas sucé et je commence un peu maladroitement, mais je reprends vite mes esprits et me lance à alterner, gorges profondes, pompages et travail du gland à la langue. L’effet ne se fait pas attendre et je l’entend grogner de plaisir. Par moment, il exerce des va et vient. Il baise, à proprement parlé, ma bouche. Je sens son précum se déverser dans ma bouche. Lui, n’ayant plus accès à mon clito, me prend les tétons de ses deux mains et me les pince et les tord dans tous les sens. La douleur m’excite encore davantage. Après quelques minutes de ce traitement, il me repousse et me couche. Il a repris les choses en main. J’aime ce moment où mon partenaire a compris que je ne suis qu’une pute dont il peut abuser. Je me retrouve couchée, les jambes repliées et le cul sur le rebord. Il se penche pour me lécher les sacs à foutre. La pression monte et je sens que je vais jouir. Je me retiens, au prix d’un réel effort. Ouf, ça passe. Ses mains baladeuses s’approchent de mes fesses et un doigt se glisse dans ma raie. Je l’entends faire un “mmmh” de contentement car il vient de découvrir que je suis lubrifiée et donc prête à être pénétrée. Il ne se laisse pas prier et m’insère un doigt, puis deux. Il me laboure la chatte sans ménagement. C’est violent et bon. Je gémis de plaisir, ça doit s’entendre dans tout le sauna. Il a, avec lui, un flacon de lubrifiant, il m’encule avec et le vide dans ma chatte. Après cela, je pense qu’il va y mettre sa bite, mais je comprends vite qu’il a du mal à rester dur… ce sont, donc, ses doigts qui, à nouveau, me pénètrent. Je ne pourrais dire, exactement, mais il a bien dû réussir à m’en loger trois. Il me défonce littéralement. Heureusement que ma chatte est faite pour encaisser ce genre de coups de butoir. Après s’être bien amusé à me dilater, il se couche à mes côtés. Je sais ce qu’il me reste à faire. C’est reparti pour une bonne pipe. Je ne veux lui laisser aucune chance de repartir sans avoir juté, alors je m’applique. Ses mains sur ma tête m’oblige à l’avaler jusqu’aux couilles. Il ne relâche la pression que lorsque j’en ai des haut le cœur. Je salive pas mal. Je Vous imagine en train de me motiver, toute souriante de voir le résultat de Votre éducation. Au bout d’un certain temps, je sens sa queue devenir bien raide, il se tortille et râle de plus en plus bruyamment. Cette fois-ci, c’est bon. Je me prépare à recevoir son foutre en bouche, mais à la dernière seconde, il se retire et joui sur son bas-ventre. Un peu frustrée de ne pas en avoir une goutte sur mon visage de salope, j’y retourne avec l’intention de nettoyer son gland, mais il me repousse se relève et part sans mot dire… J’ai joué mon rôle de pute, il s’est soulagé, ça s’arrête là. J’attends encore, sait-on jamais, puis je vais faire un tour sous la douche. Le temps que je revienne, un bonhomme a pris ma place et attend dans la position dans laquelle j’étais auparavant. Je regarde dans une autre pièce… pareil, puis une autre… à l’identique. Nous sommes tous à attendre un actif, hi hi. Je fais le tour encore deux, trois fois, passe un peu de temps dans ce que j’appelle l’étuve et finis par m’en aller. J’ai le goût de la bite en bouche et la chatte en compote, j’aurais pu faire mieux, mais au moins je ne ressors pas bredouille.

Et de sept. Il y a encore deux ans, je n’avais aucune idée de l’existence de ces saunas où l’on peut forniquer à tout va… Il y a, pour moi, un avantage considérable, en ces lieux : l’hygiène. Le bain, les douches, rendent la chose, bien plus agréable.

La photo qui suit, a été prise par une amie, qui trouve, génial, mon statut de soumise. Il est bon d’avoir des personnes avec qui partager ce que l’on est vraiment. Ce qui est amusant, c’est que ça ne fonctionne qu’avec les femmes.


Le premier décembre 2023

Je suis donc arrivée au sauna avec mon vernis aux pieds. Je me déshabille et je fais un petit tour sous la douche, histoire de me soulager. Je ne vois personne… ça commence mal. Cette fois-ci, je vais me poser au glory hole, Maîtresse. C’est un petit réduit occupé par une couchette avec quelques trous sur une cloison. Je m’allonge en espérant que du monde arrive. Deux minutes après, j’entends quelqu’un derrière la cloison. Il se baisse pour regarder par l’ouverture et l’instant d’après, apparaît une queue. Super, en fin de compte ça commence bien. C’est une demi molle que je prends en bouche, Maîtresse. Elle va rapidement prendre du volume sous mes coups de langue. Me voilà donc en mode salope. Je pompe, je lèche, je suce. Lentement puis rapidement. Ça dure. De l’autre côté de la cloison, le type que je suce reçoit la fessée. J’aurais bien demandé à la recevoir aussi mais on m’a appris à ne pas parler la bouche pleine. Cela fait, déjà, un bon quart d’heure que je suce lorsque le gars se retire. Une autre queue apparaît aussitôt, bien dure, celle-ci. Je me remets donc à l’ouvrage. Elle est plus fine et toute recourbée. Je m’applique à donner du plaisir. Ça dure un petit moment. Je commence à le ressentir dans les mâchoires… Je remarque qu’une autre bite vient de sortir d’un autre trou. Pas facile de branler au glory hole, ça manque d’amplitude. Je m’occupe donc de ces deux queues, pas très longtemps, la première se retire au moment où un type rentre dans ce petit réduit. Il n’est pas tout jeune. Sans hésiter, je me mets à quatre pattes, bien cambrée, la chatte offerte. Il me demande si j’ai une capote. J’en sors une de l’étui que je porte à la cheville, je l’ouvre et l’enfile moi-même sur sa queue. Je me remets à quatre pattes et je continue à sucer la bite sortant de la cloison. Je sens ma chatte se faire gentiment ouvrir, j’essaie de me détendre pour aider. Au moment où je me dis que ça va être bon et que je vais me retrouver les deux orifices pleins, le type derrière moi dit qu’il n’y arrive pas et s’en va… Il a à peine essayé et n’a même pas eu la présence d’esprit de me doigter avant… La queue que je suçais se retire aussi et je me retrouve toute penaude. 

Je récupère mon précum qui coule de ma cage et je me mets deux doigts avec moult lubrifiant afin de me préparer à un prochain assaut. Et j’attends. Je me dis que j’ai déjà sucé quelques bites mais j’espère que ça ne va pas s’arrêter là. Un petit quart d’heure plus tard, un autre homme rentre dans le réduit… Ni une, ni deux, je me mets à quatre pattes et pendant qu’il enfile une capote, je prépare le passage avec deux doigts. J’y vais à fond et cela semble lui plaire. Il m’attrape les fesses pour m’attirer à lui et me glisse un doigt. J’espère, sincèrement, qu’il sera assez dur pour me pénétrer. Je le sens rentrer doucement. Il a une queue assez fine mais longue. Ça y est il est passé, il est en moi. Je gémis, il croit me faire mal, je le rassure et le motive à bien me défoncer. Je dandine dans tous les sens, bien cambrée. Il va bien s’amuser dans mon cul durant quelques minutes. Je regarde un peu du côté de la cloison espérant y trouver une bite à sucer en même temps mais malheureusement, que dalle. Il ne tiendra pas jusqu’au bout, je suis légèrement frustrée lorsqu’il se retire. Je me remets sur le dos, il me demande s’il peut jouir sur mon ventre. Bien sûr… Il se branle et finit par me monter dessus. Là, toute souriante, je m’attends à une belle faciale. Mais ce couillon parle trop et n’arrive pas à juter. Il finit par s’allonger à mes côtés, à me caresser tout en dissertant sur la beauté de mon cul. Il est 18h nous ne sommes plus que trois, il est temps de partir. Je n’aurai même pas pris le temps de faire un tour dans l’étuve. J’ai été bien occupée. Là où j’ai failli, Maîtresse, c’est que je n’ai pas fait couler de foutre… Vous étiez avec moi durant ces deux heures…

Et de huit. Une chose à laquelle je dois faire très attention, c’est de ne pas jouir. Maîtresse Léa m’envoie faire la pute, pour donner du plaisir et non pas pour que je me vide les sacs à foutre. Malheureusement je suis extrêmement précoce, et je ne parle pas, là, de mon intellect. Je vous avoue que ce n’est pas toujours facile à gérer et que sans le vouloir, il m’arrive de fauter, mais pas cette fois-ci…

Le 12 janvier 2024

Alors, que s’est-il passé dans le sauna de Niort en ce vendredi après-midi du 12 janvier 2024, alors que la grande Maîtresse Léa y a envoyé une de ses putes…Tout d’abord, Maîtresse, je ne Vous ferai pas un récit, totalement, chronologique. L’enchaînement des bites a été tel, que j’ai un peu de mal à m’y retrouver. Je vais donc Vous conter quelques moments, les plus marquants, Maîtresse. Évidemment, tout est véridique… J’ai souri, lorsque le monsieur, à l’entrée, m’a tendu la clef du vestiaire en me souhaitant bonne baignade. Je ne suis pas venue pour cela, pas du tout… Avant de me déshabiller, je commence par mettre un peu de rouge à lèvres, comme Vous me l’avez demandé, Maîtresse. Pas facile, dans un vestiaire sombre et sans miroir. De toute manière, dix minutes après, il ne devait pas m’en rester beaucoup… Une fois nue, je passe à la douche, histoire de me soulager. Le petit pipi de stress… Comme la dernière fois, je me rends dans le petit réduit destiné au glory hole. Voici quelle a été ma réflexion, Maîtresse : ce sont surtout des petits vieux avec un peu, voire beaucoup d’embonpoint qui circulent au sauna. Alors, non pas que je sois jeune et svelte, que nenni, Maîtresse, mais par rapport à eux… enfin, bon, tout est relatif, comme disait l’autre. Je pense, donc, que lorsque j’attendais dans la salle avec le téléviseur, ces messieurs devaient s’imaginer que je ne voudrais pas d’eux. En fin de compte, la cloison entre nous, favorise les échanges. Étonnant, n’est-ce pas… Je m’installe donc, avec ma réserve de capotes et mon lubrifiant. Je commence par m’oindre la rondelle, sans lésiner sur la quantité, et je m’allonge à proximité des trous. Une ou deux minutes plus tard, ça s’agite de l’autre côté de la cloison. Un œil m’observe durant quelques secondes, Maîtresse, je souri. C’est, ensuite, un gland qui remplace l’œil. Vous imaginez bien que je suis aux anges. Allez, au boulot Davina, montre de quoi est capable une pute appartenant à Maîtresse Léa. Je ne me laisse pas prier. J’ai dû exciter monsieur car je dois commencer par nettoyer le précum coulant de son urètre. Lorsque je le prends en bouche, il est encore assez mou, ce qui ne va pas durer. Et là, Maîtresse, au fur et à mesure qu’il durcit je me vois obligée d’ouvrir de plus en plus les mâchoires. J’ai du mal à croire que ce soit possible. Sa queue est énorme. Je pensais que ça n’existait que dans les pornos. Je ne me démonte pas et comme d’habitude je fais tout mon possible pour tenter de le faire jouir. Rapidement il me vient à l’esprit qu’il voudra peut-être me la mettre par derrière. Je suis partagée entre l’envie et la peur. Un monstre pareil me ravagerait la chatte, Maîtresse. Par moment, il perd un peu de sa forme, puis ça revient. Cela va durer quelques minutes, mettant mes muscles, dès le début à rude épreuve. Il finit par se retirer sans avoir joui, tant pis. Une autre bite fait aussitôt son apparition. J’enfourne. Je suis surprise car, si elle n’est pas aussi impressionnante que la précédente, c’est tout de même un sacré morceau. Je me demande où suis-je tombé, moi, avec ma petite nouille dans ma petite cage. Enfin bon, c’est reparti. Je lèche, je pompe, et je le laisse baiser ma bouche. Lui aussi, se retire sans juter et en étant resté moins de temps. Je me masse un peu les maxillaires, et, en me retournant je vois un petit pépé tout poilu, les soixante-dix ans révolus. Je n’avais pas remarqué qu’il était rentré dans cette pièce minuscule. Il attendait sagement que je finisse. Il me glisse une main entre les jambes et tombe sur ma cage. Il me regarde, un peu surpris en me disant qu’il se proposait pour me sucer. Je lui réponds que je n’y ai pas le droit. Un peu déçu, il me dit que je l’avais, moi-même, bien sucé mais qu’il ne voulait pas jouir tout de suite. Là, je comprends que le petit bonhomme que j’ai devant moi, est le détenteur de l’énorme engin. J’en reste coi. La nature est parfois surprenante. Il compte revenir vers moi plus tard. Il semble triste pour moi, il n’a pas idée que je puisse être heureuse d’avoir abandonné ma sexualité à ma Maîtresse. J’ai le droit à un peu de répit, pas bien longtemps. J’en profite pour récupérer le précum qui s’écoule de ma cage en me disant que je suis devenue une sacrée putain de salope… C’est dingue, ce que Vous avez fait de moi, Maîtresse. À partir de là, la succession des événements reste floue, mais je pense, qu’en tout, sept ou huit types se sont amusés avec moi. Sur l’heure et demie où je suis restée au sauna, je n’ai pas eu beaucoup de pauses. Il y a eu le quart d’heure, à la toute fin, où j’ai profité de l’étuve et de la douche…Voici, donc, quelques moments choisis, Maîtresse.

Tout d’abord, le gars, un peu plus communicatif. Derrière la cloison, il me demandait si j’aimais la bite, si je voulais du “jujus”, si j’avalais, si je prenais du “jujus” dans mon cul. Il me demandait de lui lécher les couilles, et régulièrement me disait que j’étais une salope. J’acquiesçais, la bouche pleine, tout en gémissant, histoire de l’exciter davantage. Alors que j’attendais son “jujus”, lui aussi, va se retirer sans jouir. Le petit pépé, bien monté, est de retour. Malgré la cloison j’ai, de suite, reconnu sa bite. Facile… Après en avoir profité un peu, il fait le tour pour me retrouver. Je sais pourquoi, Maîtresse, Il veut que je le prenne en gorge profonde. Je descends de la couchette, je m’agenouille, j’attrape ses cuisses toutes poilues et je m’exécute. Il attrape ma tête et fourre son énorme queue au fond de ma gorge. C’est un peu rude. Il rigole en me demandant s’il m’étouffe. Je lui réponds qu’elle est énorme. Heureusement elle n’est pas trop longue et j’arrive à l’avaler, quasi, entièrement. Après quelques temps je l’entends jouir, mais à part du précum, pas de sperme. Il m’explique qu’il a été opéré, qu’il peut jouir, mais qu’il ne peut plus verser de foutre. Il a pris du plaisir et c’est le principal. Il me congratule, il semble très content de moi et s’éloigne.

Alors que j’étais en pleine fellation, un gars, particulièrement entreprenant, monte sur la couchette et me fourre un doigt, puis m’écarte les fesses et me bouffe le cul. C’est une première pour moi, Maîtresse. Je sens sa langue rentrer dans mon petit trou. C’est rigolo. Il finit par m’embrasser dans le cou et me glisse à l’oreille qu’il reviendra. Je lui réponds “avec plaisir”.

Celui qui vient m’a beaucoup excitée, Maîtresse. Il va jouer avec moi. Il a commencé à me présenter que le bout de son gland, m’obligeant donc à sortir ma langue. Je lape consciencieusement son petit bout et d’un coup il vient taper le fond de ma gorge. J’effectue quelques va-et-vient en serrant bien mes lèvres autour de son sexe, et il se retire de ma bouche. Je vois toujours sa bite à travers le trou. Il la secoue un peu. Je comprends qu’il me faut aller la chercher, ce n’est donc plus lui qui passe son membre par le trou mais moi qui y passe ma langue. Il recule encore un peu. Je fais mon possible pour m’approcher. Le bout de ma langue balaye l’air, mais il finit par, m’y déposer son gland et y frotter, délicatement, son frein. Vous devez deviner la suite, Maîtresse. Il va de nouveau s’engouffrer en moi. Ce petit jeu va durer et, si je ne peux l’expliquer, cela m’a beaucoup plu. Lorsqu’il en aura fini avec moi, lui aussi sans jouir, je remarquerai que mes mains ont laissé des traces de sueur sur la cloison et que ma salive s’écoule du trou. Il n’y a d’ailleurs pas que cela qui coule. Mon clito est trempé de précum, Maîtresse.

Le prochain me semble plus jeune, en tout cas, lui n’aura pas de coup de mou. Je vais le sucer, tout comme il faut. Il se retirera parfois pour se branler un peu puis reprendra sa place. Après quelques minutes, je l’entends grogner. Il enfonce bien sa queue, elle a un premier soubresaut, et enfin, il se répand en moi. Je ressens le goût acidulé de son foutre. Je ferme mes lèvres. Il me remplit la bouche. Du sperme s’écoule par l’une de mes commissures et dégouline sur ma joue, je l’entends tomber sur la couchette. Vous êtes avec moi, Maîtresse, à m’encourager à le vider jusqu’à la dernière goutte. Je vais en avaler un peu et je vais garder son goût en bouche jusqu’au repas du soir. C’est une victoire pour moi. Je n’ai pas le temps de nettoyer la couchette que le type, qui précédemment me bouffait le cul, s’allonge sur moi et me demande si l’on vient bien de jouir dans ma bouche. Oui, lui réponds-je, et sa langue va à la rencontre de la mienne pour y chercher des traces. Beurk, j’aime beaucoup moins cela. C’est étrange, Maîtresse, cela fait près d’une heure que je suce de la bite, on vient d’éjaculer dans ma bouche, mais je n’ai aucune envie qu’un mec m’embrasse. C’est fou…

Après tout cela, Vous allez me dire, mais qu’en est-il de ma chatte… alors, voilà. J’ai remarqué, qu’à plusieurs moments, une tête apparaissait pour voir ce qui se passait dans ce petit réduit. Et, je Vous avoue que j’attendais que quelqu’un s’occupe un peu de mon petit orifice. Alors en attendant qu’une nouvelle bite se présente par l’un des trous, j’ai changé de position d’attente. Je me suis mise en position de levrette, sur les coudes, le dos bien cambré, le cul bien relevé, ma chatte exposée et bien huilée. Le message ne peut être plus clair. Ça ne va pas manquer, Maîtresse. Un gars va se placer derrière moi. Je l’ai à peine entendu arriver. Par contre je vais bien sentir son doigt entrer en moi. Puis un deuxième doigt. Il va, ainsi, me doigter, sans ménagement, aucun. Là, je prends mon pied, même si c’est un peu douloureux. Je gémis, de plus en plus fort. Je suis certaine que l’on m’entend jusqu’à l’autre bout du sauna, mais je m’en fous. Je le laisse s’amuser avec ma chatte sans jamais jeter un regard en arrière. Je n’ai aucune idée de qui m’a si bien défoncé. Je vais rester ainsi, un petit moment, haletante et la chatte bien ouverte. Malheureusement, personne n’y plantera son sexe. Mais j’ai eu mon compte. Il est certain que, si j’avais eu le droit à ce traitement dès mon arrivée, j’aurais joui, Maîtresse. Ouf…Pardon, Maîtresse, c’est un peu sale, mais je sais quand on m’a bien travaillé la chatte. Je dois vite aller aux toilettes en rentrant… Voilà, il ne me semble pas avoir oublié grand chose, Maîtresse. Je suis ressortie, j’ai allumé ma clope d’après une bonne baise, les lèvres encore collantes et satisfaite de mes performances. Je suis une pute à Maîtresse Léa.

Et de neuf. Cette fois-ci, va être magistrale pour moi. Nombre de tabous vont tomber. Je me suis, purement et simplement, faite démonter. S’il restait un doute sur le fait que je sois une salope, après cette session, il n’y en a plus… Je vais ressortir du sauna harassée, mais terriblement fière.

 Durant mes deux derniers passages au sauna, j’ai tenté de faire une petite vidéo, sans succès. Je vais réussir, cette fois-ci, mais le captage sera de bien piètre qualité. J’en ai retiré la photo que vous pouvez voir ci-dessous…

Voici le résultat de l’éducation de Maîtresse Léa.

Le 13 mars 2024

Je suis restée au sauna plus de deux heures. Heureusement, j’ai eu le droit à quelques pauses, par ci par là, le temps de reprendre mon souffle. Une fois encore, je ne peux pas Vous donner le nombre de bites dont je me suis occupée, Maîtresse. Une fois arrivée, une petite douche devant les regards libidineux de quelques gars. Je vais ensuite, vite rejoindre mon petit coin glory hole. Je lubrifie ma chatte, je dépose des capotes bien en évidence à côté de moi, et je m’installe directement à quatre pattes, bien cambrée. Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour voir apparaître, à un trou, une grosse et longue queue. Je suce, la bouche bien remplie, cinq minutes après le gars se retire pour laisser la place à un autre. Mon rôle de pute commence. Les bites vont, ainsi, s’enchaîner, avec quelques moments très chauds. Les voici, Maîtresse.

Je me retrouve, encore, à sucer un type très bien monté. Ha oui, Maîtresse, ce sera un festival de grosses bites, vraiment… Donc je suce, et quand le gars se retire un peu pour se branler, je passe ma langue par le trou, ça les excite, hi hi. Arrive le moment où le type se retourne et plaque son cul contre le trou et me demande de lécher. Bon, j’ai une petite seconde d’hésitation, Maîtresse, mais je m’y mets. Il me demande d’aller plus profondément, mais ce n’est pas très pratique. Il ne se laisse pas démonter et fait le tour pour me retrouver dans le petit réduit. C’est un type, physiquement, impressionnant. J’approche, il se penche et me revoilà en train de lécher sa rondelle… mais cela ne lui va toujours pas, il me gueulait dessus, d’enfoncer davantage ma langue, mais ma langue est aussi courte que ma bite… alors il m’a ordonné de me coucher sur le dos, la tête bien au bord et il s’est assis dessus. À ce moment là, je me suis dite que jamais Vous ne pourriez me croire, Maîtresse, et pourtant… il s’est, ensuite, frotté comme un malade sur ma langue et mon nez. Ma deuxième pensée a été, comment peut-on être aussi poilu, hi hi. Tout cela a rameuté du monde, quand le costaud s’est relevé, un autre gars attendait à côté, la bite à la main, il a profité de ma position pour s’engouffrer dans ma bouche. Je n’avais pas encore essayé de sucer dans cette position, et j’ai très vite compris que je ne pouvais pas me retirer. Il m’en a fait baver, Maîtresse, j’ai bien cru, à un moment donné, qu’il allait m’étouffer, je lui ai, alors, tapé sur les fesses, histoire de lui faire comprendre qu’il me fallait reprendre ma respiration. Je Vous avoue que cette partie m’a paru un peu longue. 

Quand il est parti faire un tour ailleurs, j’étais quelque peu KO. Mais c’était très intéressant car les deux types m’ont vraiment traitée comme un pur objet sexuel. Avant qu’une bite ne ressorte par un trou, j’ai, juste, eu le temps de m’essuyer le visage recouvert de ma propre salive.

Autre moment marquant, je me retrouve avec, une fois de plus, une énorme bite en bouche, pas très longue mais bien trapue. Rapidement, le bonhomme fait le tour pour me retrouver. Je lui demande ce qu’il veut de moi, il me répond de continuer, donc je suce, puis vient la question à laquelle je m’attendais, est-ce qu’en plus de sucer, je me fais enculer. La bouche bien pleine, je lui dis oui. “Je prendrais bien ton petit cul”. Je lui fais, tout de même, remarquer que sa bite est vraiment très grosse. Il me répond que c’est ça qui est bon. Bien, je récupère une capote, mais je n’arrive pas à ouvrir le sachet avec mes mains pleines de lubrifiant. J’y vais avec les dents, je ne veux pas lui laisser le temps de ramollir. Quand j’essaye d’enfiler la capote, ça ne rentre pas. Penser à acheter de grandes tailles… j’écarte la capote comme je peux et hop, ça rentre à peu près. Je ne pourrais pas la dérouler jusqu’à la base de sa verge, elle est vraiment trop grosse. Je me mets à quatre pattes, cul bien offert. Il m’attrape et je sens son membre, forcer contre ma petite chatte. De mon côté, je pousse pour ouvrir au maximum mon orifice. Plus rapidement que ce que je pensais, il va réussir à passer mes sphincters. Ça y est, il est en moi, Maîtresse. Commence une belle cavalcade. Chaque coup de butoir m’élargit davantage et me fait couiner. J’ai la tête contre la couchette. Je me dis que je devrais peut-être faire moins de bruit, je ne suis pas toute seule dans ce “sauna”, mais je me fais littéralement labourer. Après quelques minutes de ce bon traitement, il se retire en me disant qu’il me finira plus tard. Je ne suis pas certaine de l’avoir revu. Je relubrifie ma chatte qui n’est plus si petite et j’attends la suite. Les queues se succèdent par les trous, il y en aura même une, toute petite, hi hi. Un gars va y rester un sacré bout de temps et quand il va me présenter son cul tout poilu à lécher, je me dis que le costaud est de retour. Successivement, il m’enfonce sa grosse queue dans la gorge, me fait lécher sa rondelle et parfois il s’accroupit pour me sucer la langue. Pendant ce temps un autre gars est venu s’installer à mes côtés. Il me caresse. J’écarte les cuisses pour lui donner accès à ma chatte. Ses doigts me pénètrent. C’est là que l’accident se produit, Maîtresse, il va rapidement trouver mon point P. Je n’ai pas le temps de réagir, je sens le foutre traverser mon petit clito, pourtant tout flasque. J’en recueille le plus possible dans ma main pour l’avaler entre deux instants où je n’ai pas la bouche pleine. Je suis, bien sûr, déçu d’avoir vidé mes sacs à foutre sans Votre autorisation, mais il me faut continuer, on me travaille encore au corps. Je vais sucer et me faire doigter, ainsi, encore un bon bout de temps. Quand ces messieurs vont se retirer, il me faudra longtemps pour reprendre ma respiration…Seule dans mon petit coin, toute penaude de me retrouver avec les sacs à foutre vides, je récupère un peu. Ma cage est toute collante et je fais de mon mieux pour que le plus possible de foutre finisse bien dans ma gorge, je Vous dois bien ça… La couchette est trempée par ma sueur, ce qui est normal puisque le revêtement est en plastique. Ce doit être indispensable pour pouvoir la nettoyer correctement, hi hi. Cela fait près de deux heures que je suis arrivée et je commence sérieusement à fatiguer. Je n’entends plus grand monde et me dis qu’il est peut-être temps de rentrer, mais comme Vous avez dû le remarquer, je n’ai, encore, fait jouir personne, je l’ai un peu mauvaise… alors j’attends un peu, une dernière bite avant de prendre la route. Une bien grosse apparaît. Encore ? Me dis-je, mais je la reconnais, c’est celle du costaud. Il a fait un petit tour et revient à la charge. Me revoilà donc à nouveau, à sucer et pomper, encore et encore. La vigueur avec laquelle, par moment, il se branle sur ma langue que je laisse toujours dépasser, me fait comprendre qu’il veut en finir. Je me dis, chouette, mais c’est long. Si, moi, je ne tiens pas dix secondes, lui doit pouvoir baiser durant des heures. Il ne va pas rester derrière le mur, je l’entends faire le tour. Je suis fatiguée et lorsque tout à l’heure, il s’est assis sur mon visage, j’en ai tout de même bavé. Je me demande ce qu’il va m’arriver. Lorsqu’il rentre, je suis dans un coin, recroquevillée, mais en fait ce n’est pas le costaud. Bon, c’est la même carrure, la même grosse bite, sauf que lui a des cheveux, hi hi. Je me rapproche pour le reprendre en bouche. Il me force un peu en gorge profonde, puis il finit par s’allonger à mes côtés pour être plus à l’aise pendant que je le suce. Après quelques minutes, il se pose la question “où est-ce que je vais jouir ? Dans ta bouche ou dans ton cul ?” Et là, ni une, ni deux, il me plaque contre la couchette, s’agenouille derrière moi, m’attrape les fesses et les relève. Sans aucune préparation, il essaye de s’introduire en moi. Il pointe trop haut, puis trop bas et après deux, trois autres tentatives, il rentre d’un coup et tape tout au fond. C’est à la fois bon et rude. Mais, grosse bêtise, Maîtresse, il n’a pas mis de capote, j’espère qu’il est sûr de lui, de toute façon, c’est fait… Il me chevauche brutalement, on peut entendre mes râles et les claquements de son bas ventre sur mon cul. Impossible de Vous dire combien de temps cela a duré, je suis dans un état second, j’ai l’impression d’être une poupée de chiffon entre ses mains. Mais alors que je me dis qu’il est bien parti pour se répandre dans ma chatte, il se retire et s’allonge de nouveau, la queue au niveau de ma tête. Je suis bonne pour un ATM, et me voilà repartie à sucer, Maîtresse. Le petit bonhomme qui, auparavant m’a fait jouir avec ses doigts est de retour, probablement attiré par le raffut que je fais. Il glisse, à nouveau, ses doigts en moi. Ma chatte est encore béante, ça rentre comme dans du beurre. Là, encore, je ne suis plus capable de déterminer le temps que je vais passer à pomper, Maîtresse. Enfin, vient le moment où je sens le foutre du costaud jaillir sur ma langue. Une première giclée, j’avale. Je resserre mes lèvres sur son membre. Une deuxième giclée, j’avale. Je suis prête à tout ingurgiter, mais il reprend sa queue, la sort de ma bouche et m’inonde le visage, et ce n’est pas une image, Maîtresse, ça n’arrête pas. Je ne savais pas que des couilles pouvaient fournir autant de semence, peut-être est-ce parce que cela fait très longtemps que je le travaille… Je ne suis pas sûre, pour une première, que j’aurais réussi à tout avaler, Maîtresse. Le petit bonhomme a retiré ses doigts de ma personne et je sais qu’il m’observe en prendre plein la gueule. Une fois les soubresauts, de la grosse bite, calmés, je la reprends en bouche et pompe jusqu’à la dernière goutte. Une pute de Maîtresse Léa se doit de finir, correctement, le boulot. Je m’assoie sur le bord de la couchette, je suis réellement lessivée. Je sens le foutre coller à ma peau, il est de grande qualité. Le foutre d’un alpha. Le costaud rigole, moi aussi, je le remercie et lui dit que je jette l’éponge. Nouveaux rires et il me remercie à son tour. J’ai assuré, Maîtresse. Ne pouvant pas ressortir dans la rue dans mon état (je me suis tout de même posée la question, cela Vous aurez tellement plu…), je prends une douche et me rhabille. Le costaud aussi. Il a l’air ravi…Dehors j’allume ma clope d’après baise, le goût du foutre en bouche…Voilà Maîtresse. Je suis contente de cette session sauna, même si elle a été rude. Cela m’a permise de me rendre compte de deux choses, Maîtresse. Tout d’abord le boulot de pute peut être, physiquement et moralement harassant, ensuite j’ai bien compris quelles étaient les capacités d’un vrai mâle. Je suis contente mais je sais que je dois et que je peux encore m’améliorer, Maîtresse

Et de dix. il me reste toujours deux petites appréhensions, la première, évidemment, quand on cherche à se faire mettre, c’est d’être bien propre, pour cela j’adapte mon alimentation et j’utilise une poire à lavement, auparavant. Mais surtout, vais-je trouver suffisamment de mâles pour me baiser… C’est inégal d’une fois sur l’autre.

Le 15 mai 2024

Et c’est parti, Maîtresse. Mon histoire au sauna de Niort, le 15 mai 2024. 
Comme à l’accoutumé, après m’être déshabillée, je passe à la douche, vider ma vessie. Je vais ensuite récupérer mon petit baluchon contenant, préservatifs, lubrifiant, des mouchoirs et un crayon. Je me rends dans le petit réduit du glory hole. J’écris PUTE sur mon front. Pas facile, je ne vois rien et je doute que le résultat fût probant. Pour la prochaine fois, j’aurai autre chose à Vous proposer, Maîtresse, hi hi. Avant même de m’installer sur la couchette, un homme, approchant des soixante-dix ans, est à mes côtés et me plote les fesses. Ça commence bien, chouette. Il m’annonce, de suite, qu’il ne me prendra pas, tant pis… Je pense avoir compris pourquoi : il a un énorme bide et une bite très courte (plus courte que celle que j’avais autrefois, si, si, Maîtresse, hi hi), il aurait du mal à atteindre ma chatte. Il m’a vite cerné, comme pute soumise, et me donne des ordres. Tout d’abord, lui lécher les tétons puis, fermement, me demande de me mettre à genoux. Je m’exécute et commence à le sucer. Pour une fois, lorsqu’il appuie sur ma tête pour le prendre totalement en bouche, je peux encore respirer. Gorge profonde, pas si profonde, hi hi. Il me relève et m’ordonne de le suivre dans une pièce plus grande. Là, il s’allonge et je dois le pomper doucement, tout en lui chatouillant la rondelle, il ne veut pas cracher sa jute trop vite. Il me demande de me mettre à quatre pattes, près de lui, afin qu’il puisse triturer mes tétons, et il n’y va pas de main morte, Maîtresse. Un autre type arrive, et ça va devenir très très chaud. Ils sont, à présent, à genoux sur la couchette, moi, toujours à quatre pattes. Je suce l’un pendant que je branle l’autre. Ils en profitent pour me donner, chacun, la fessée. Ça claque, encore et encore, sur mes fesses déjà bien rouges. Je gémis à chaque coups. Cela les excite. Lorsque je pompe la queue du deuxième, mieux membré, le premier me force, durement, à l’avaler. C’est rude, j’en ai des hauts le cœur. À chaque fois que j’arrive à me dégager, je crache une grande quantité de salive, la couchette en est trempée. Ça me sort, même par les narines. J’en bave, au premier degré comme au figuré. Un troisième gars est arrivé, je le remarque du coin de l’œil. Il se branle en nous regardant. Tout le monde a l’air de bien s’amuser avec moi, ils me traitent de salope, et ça dure un bon moment comme ça. Lorsque les deux gars se retirent, je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits, celui qui se branlait sur nous s’allonge à son tour. Et c’est reparti pour une belle fellation. Lui est très bien monté. Je suce, je suce, mais au moment où je pensais réussir à le faire jouir, il s’enfuit. Les gars veulent profiter au maximum de leur moment passé au sauna… Je me retrouve, seule et haletante. Je prends deux minutes pour souffler, me moucher et nettoyer un peu, la couchette. Je retourne, ensuite, au glory hole. Je m’installe, bien cambrée en attendant la suite, mais rien ne se passe. Je vais rester ainsi, une demi heure, avec une capote sur les fesses espérant que quelqu’un en profite, mais non… Il n’y aura qu’un instant où, sans la voir venir, je vais prendre une fessée. Le temps que je me retourne, il n’y a plus personne, hi hi. Après tout ce temps, apparaît, enfin, une bite par l’un des trous. C’est reparti, je pompe, fais des va et vient, titille de la langue. Une autre queue passe par une autre ouverture, elle est toute petite, je la branle du mieux que je peux. Après quelques minutes les deux bites se retirent et une troisième les remplace aussitôt. Allez hop, me revoilà la bouche pleine, Maîtresse. Ça se prolonge, le type insiste, je le sens bien. Ça ne va pas manquer, je l’entends qui ahane, sa queue a des soubresauts et son foutre s’écoule, enfin, sur ma langue. Je serre les lèvres, je pompe, j’avale. J’avale tout. Je pense très fort à Vous, Maîtresse. Je sais que Vous serez contente de moi. Le gars se retire sans un mot, il a fait son affaire. Je ne suis qu’un trou dans lequel il s’est soulagé. Après ce passage, je vais de nouveau attendre à quatre pattes, cul bien relevé, pendant trois quarts d’heure, c’est long…

Je décide d’aller faire un petit tour. Je ramène mon baluchon au vestiaire, le premier bonhomme, au gros bidon et bite courte, me rattrape, pensant que je partais et me demande de le sucer à nouveau. Je le suis dans l’une des pièces, il s’allonge, m’ordonne de me mettre à quatre pattes, près de lui, et d’y aller tout doucement. Je pompe avec parcimonie. Il m’attrape la tête pour que je lui lèche les tétons. Les miens se retrouvent à sa portée. À l’aide de deux doigts, il commence à me pincer celui qui n’est pas percé. D’un coup, il assure fermement sa prise et imprime à mon téton une rotation. La douleur me fait piailler, Maîtresse. Mais cette douleur fait immédiatement place à un intense plaisir. Je n’avais jamais ressenti cela. Je sais être très sensible des tétons, mais à ce point là… Mes sacs à foutre se mettent à bouillonner, je ne suis pas loin d’être au bord. Je me dis que ce n’est pas possible, je ne vais tout de même pas jouir ainsi. Il me repousse vers sa queue. Alors que je suçote, un autre gars arrive par derrière. On me demande d’écarter les cuisses afin d’être prise. Je me dis, chouette, sauf que je suis, encore, très excitée. Je sens le sexe de l’autre me caresser les fesses. J’essaie de me calmer. Je respire profondément, je ne dois pas jouir, je ne dois pas jouir. Mais je pense que celui qui se trouve derrière moi, n’arrive pas à durcir suffisamment, et il repart. Cela me laisse le temps de redescendre un peu… Le gros bonhomme finit par m’inviter à m’allonger, il s’agenouille à côté et se branle au dessus de mon visage. “Tu veux du jus ?” Oui, lui reponds-je. Il insiste, “tu veux du jus ?” Je me lâche, oui j’en veux, je veux du foutre, du sperme. “Ouvre bien ta bouche” et quand il vient, il s’enfonce entre mes lèvres. Je les resserre, et à nouveau j’avale tout, Maîtresse. Deux gorgées suffiront. Vous aviez, comme d’habitude, raison, ce n’est pas du tout le même goût. J’avoue, c’est loin d’être ma tasse de thé. D’ailleurs, je n’aime pas le thé. Disons que ça ne vaut pas un verre de baileys. Choix, totalement arbitraire. Par contre, je m’attendais à une texture bien plus épaisse. Cela vient peut-être du fait que les couilles que j’ai vidées le sont très régulièrement. Je ne peux pas comparer avec mon foutre, je ne l’ai jamais goûté à l’époque où je jouissais quotidiennement…
C’est ainsi que se termine mon après-midi au sauna, Maîtresse. Le gros bonhomme qui me donnait des ordres est à présent tout mielleux. C’est toujours amusant, cette différence de comportements, d’un homme, avant et après éjaculation, hi hi.
Je vais me rhabiller après une bonne douche, je doit faire disparaître ce qu’il y a écrit sur mon front avant de sortir… Dans le vestiaire, une femme se rhabille, aussi, je ne l’avais pas remarqué et tant mieux, la tentation m’aurait perturbé, je sais que ce n’est pas très bien, Maîtresse, mais mon désir de lécher une chatte est toujours très fort. Par contre, je ne ressens plus l’envie de pénétrer. Ça c’est acquis. Je suis une femelle.

Et de onze. A présent, je sais que j’ai la capacité d’avaler le sperme de ces messieurs. Normal pour une pute, me direz-vous, mais, pour ma part, cela m’étonne encore… Je doute, très sincèrement, que quelqu’un d’autre que Maîtresse Léa, aurait pu faire de moi un réceptacle à foutre.

Le 12 juin 2024

Allez, Maîtresse, je Vous embarque dans cette histoire, même si Vous savez bien, que Vous étiez, par l’esprit, au sauna avec moi…
Je rentre dans le lieu. Je ne suis pas sûre de Vous l’avoir dit, mais l’entrée est un petit sex-shop. Le seul, d’ailleurs, à Niort. J’avais donc prévu de réaliser la tâche qui consistait à faire une demande humiliante à une vendeuse de sex-shop. Pas de chance, pour une fois c’était le patron qui se trouvait derrière la caisse. Zut, loupé. 
Je paye et passe à la partie sauna, enfin quand je dis sauna, je parle, comme d’habitude, du lieu dans lequel se trouve un tout petit sauna. Trêve de blablas. Je me mets à poil, sans en avoir, de poils, évidemment. Petit coup de flippe, je m’aperçois, alors, que j’ai laissé les clés de ma voiture sur le contact. Chose qui ne m’arrive jamais. Je réfléchi deux minutes. Ma voiture est dans un parking sous-terrain assez sombre, et j’ai le ticket avec moi. Ça devrait le faire… Pardon, Maîtresse, je m’éloigne encore du sujet. 
Tout d’abord douche et pipi puis hop, au glory hole. Je oints ma chatte, prends en main mon inhalateur et je me mets à quatre pattes, cul bien offert, en espérant que le tatouage est suffisamment lisible. 
Je n’ai pas à attendre. Un type vient s’installer derrière la cloison et me propose une énorme bite. Chouette, ça commence bien. Il durcit très vite. Un alpha, Maîtresse. Youhou. Hé bien sans vouloir Vous spoiler, ce sera la seule queue bien raide et maousse costaude dont je m’occuperais durant cet après-midi. Autant Vous dire que personne ne va m’enculer… du moins avec sa bite.

Me voilà, donc, en train de le sucer, du mieux que je peux. Du coin de l’œil, j’ai remarqué que quelqu’un vient de rentrer dans la pièce. J’écarte les cuisses, au cas où il voudrait jouer avec ma chatte, mais non, il se branle. Tant pis. L’alpha se retire, je me retourne, donc vers celui qui est avec moi. J’ai face à moi, un gars, ayant dépassé les soixante-dix ans, bien gras, et avec un visage, comment dire… pardon pour lui, mais, très laid et très très rouge. C’est clair qu’il ne suce pas que des glaçons, hi hi. Je vais l’appeler le rougeot, car il va revenir, à plusieurs reprises, dans cette narration. En tant que pute, Vous savez que je ne fais pas la fine bouche. Je me rapproche, donc de lui pour le prendre en bouche. L’alpha arrive, mais la place est prise. Le rougeot s’écarte un peu pour lui laisser un peu d’espace. Je me mets à genoux, au sol et je m’occupe de ces deux queues, une énorme bien dressée et une demi-dure, plus classique. C’est le rougeot qui va prendre ma tête en main pour passer d’un chibre à l’autre. Il va bien insister pour que je prenne l’alpha en gorge profonde. Ça va le faire rire quand je vais m’étouffer avec le gros engin. Le sol va recueillir ma salive. À partir de là, tout va s’accélérer, Maîtresse. Comme s’ils s’étaient passés le mot, tous ceux qui se trouve dans le sauna, vont venir s’agglutiner dans le couloir qui mène à moi. Malgré l’espace réduit, je me retrouve très vite avec une bite dans la bouche et une autre dans chaque mains. Dans ma tête je Vous entends me dire “mmmh, c’est ça que je veux voir”. Je suce, je branle. Ça s’échauffe autour de moi. En attendant leur tour, les types se caressent les uns les autres en me regardant. Ça souffle, ça gémit. Je ne pourrais Vous dire le nombre de fois où l’on m’a donné le gentil qualificatif de salope. D’ailleurs ils parlent tous de moi au féminin. “Putain, elle en veut, celle-ci”. L’alpha est au bord, il se retire d’un coup en disant, “elle est trop bonne, elle va me faire venir”. Malheureusement, je ne le reverrais plus… je continue de m’occuper de trois bites à la fois. J’aurais bien proposé d’en prendre une quatrième dans ma chatte, mais personne n’est assez dur pour pouvoir me pénétrer, c’est une évidence. Alors, je suce et je branle. Je pompe sévèrement, essayant d’extraire leur jus. Le goût de différents précums se mêlent sur ma langue. Je suis en sueur, ça coule sur le sol et se mélange à ma bave. Cela fait un moment que je suis à genoux, je commence à avoir des crampes, mais je persiste. Des mains m’attrapent pour me relever…

Je reprends un peu mon souffle. Les types qui m’entourent me pelotent partout. Plusieurs mains et plusieurs lèvres se promènent sur mon corps. Je ferme les yeux. Entre quelques caresses, des claques me sont administrées, sur mes cuisses, sur mes fesses, sur mon ventre et sur mes seins. Le rougeot entreprend de me claquer les sacs à foutre, encore et encore. Chaque petits cris, que j’émets, les excite davantage. Leurs doigts s’insinuent dans ma bouche et entre mes fesses. Ils savent qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent de moi. Il me faut faire attention, je sens mon clito durcir peu à peu dans ma cage, et il est hors de question que je jouisse. Le rougeot, toujours lui, attrape mon piercing au téton et le triture jusqu’à me faire brailler de douleur. Il serait un peu sadique que cela ne m’étonnerait pas. Un autre s’accroche à mes sacs à foutre et tente de les arracher avant de les lécher. Je me laisse faire, ce serait dommage de leur gâcher leur plaisir. Quelqu’un m’oblige à me pencher pour que je le reprenne en bouche. J’écarte les jambes et expose, ainsi ma chatte. Aussitôt je sens une langue me titiller la rondelle, puis, enfin, un doigt me pénètre. Que c’est bon, j’attendais, tellement, cet instant. Je gémis de plaisir et j’utilise l’inhalateur qui s’est retrouvé dans ma main, je ne sais plus comment. Le rougeot, que je suis en train de sucer, s’interroge et me demande s’il peut essayer. Je lui donne et il s’essaye au poppers en me carrant sa queue, bien au fond de la gorge. Il semble passer un très bon moment. Ma position, penchée n’est pas du plus confortable mais après quelques minutes, tous les bonhommes s’éloignent, un à un, de peur de jouir, Maîtresse. Il reste un petit vieux, vraiment très vieux. Il est allongé sur la couchette et m’attire à lui de façon à pouvoir lécher mes tétons. Ses doigts cherchent l’entrée de ma chatte. Je le guide et je profite… oh oui, je profite. À défaut d’une bite, ce que j’aime que l’on me doigte, notamment de cette manière, bien énergique. Je contrôle mon excitation. Enfin, je me remets à le sucer, mais il ne peut quasiment plus bander. Par chance, un autre gars arrive pour que je le pompe, j’en avais assez, de machouiller la nouille du petit vieux. Une fois seule, je regarde mon téléphone pour voir combien de temps tout cela a duré. Cinquante minutes. Je suis quelque peu exténuée. Non en fait, je suis crevée, mais je me remets en position d’attente, à quatre pattes, après avoir tartiné ma rondelle de lubrifiant. J’ai comme un arrière goût de bites en bouche, hi hi. Je n’entends plus grand monde et me décide à aller faire un tour. Dans le jacuzzi se baigne un couple. La dame est charmante. Mon clito réagit au quart de tour. Doucement, je sais que je n’y ai pas le droit. Je rentre dans l’étuve, histoire de me calmer un peu. À travers la vitre, je vois le couple sortir du bain. Je ne peux m’empêcher de regarder ce corps féminin, recouvert de tatouage et si attirant. Ces formes si harmonieuses et cette fente, objet de tous les désirs. La beauté appartient au sexe féminin, c’est indiscutable. Je sors de l’étuve, c’est bon, je suis cuite. Une petite douche froide finira de calmer mes ardeurs. L’endroit s’est bien vidé mais je ne suis pas encore satisfaite, je vais donc reprendre ma position d’attente, sur une couchette, mais dans une autre pièce, celle où se trouve l’écran qui ne fonctionne malheureusement plus… Quelqu’un approche, je me cambre bien, mais il passe sur le côté. Il veut que je lui taille une pipe, pas de problème, je m’y remets. Il durci rapidement et au moment où je sens qu’il va jouir, il s’échappe et je le vois partir se finir sous la douche. J’ai presque envie de lui gueuler que ça ne se fait pas de me laisser, ainsi, en plan. Quel gâchis de foutre. Tant pis, je me remets à quatre pattes…

Le rougeot est de retour, il me dit “toujours là, ma belle”. Ma belle, hi hi. Je lui réponds, pas pour longtemps. Là, en me voyant le cul bien tendu, et n’attendant qu’une chose, je dois lui faire pitié. Il commence, alors, à me caresser les fesses, un doigt taquine ma rondelle avant de s’y enfoncer. Miam. Ce que je peux aimer, être pénétrée, Maîtresse. Il me doigte de plus en plus rapidement et profondément. Je l’accompagne avec les mouvements de mon bassin. Il ralenti pour pouvoir insérer un deuxième doigt. Ils sont volumineux, ça a un peu de mal à rentrer, mais il force le passage et les va et vient reprennent. Je gémis de plus en plus fort, avec des intonations féminines, je sais que cela fait son effet, j’entends son souffle s’accélérer. Il me traite de salope, et c’est bien ce que je suis, là, ça ne fait aucun doute. Il stoppe l’action. Va-t-il faire ce que je pense qu’il va faire. Hé oui, c’est un troisième doigt qu’il essaye de me rentrer. Ça va être compliqué. De mon côté, je pousse pour faciliter l’accès. Il est en train de me défoncer la chatte, je me demande même, s’il ne tente pas de m’en mettre quatre. Je ahane, c’est douloureux, mais si bon à la fois. Je fais attention à ne pas y prendre trop de plaisir, il pourrait me faire jouir. Ce qui est sûr, c’est qu’il est très excité. Je tourne ma tête vers lui et lui demande s’il veut que je le “finisse”. Il retire ses doigts et sa serviette. Je m’allonge le long de la couchette, les pieds sur le mur, ce qui lui laisse l’opportunité de jouer avec mon corps. Pour la énième fois, je le reprends en bouche. Sa queue est toujours demi-molle, mais il y a du mieux. Cette fois-ci je ne le laisserai pas repartir sans qu’il ait juté. Ce n’est, peut-être, pas très modeste, mais je pense être devenue une experte de la fellation. Je sors toute ma science. Ça a l’air de lui plaire. Il joue avec mes sacs à foutre, les tire comme un forcené, puis les délaisse pour s’attaquer de nouveau à mon téton percé. Il est encore très sensible du traitement que le rougeot, lui-même, lui avait, auparavant, administré et c’est avec davantage de véhémence qu’il le maltraite. Je hurle, la bouche, pourtant, pleine. Ça ne l’arrête pas, au contraire. Il est dans un état extatique. Il râle. Je sens sa bite durcir, rapidement, puis deux soubresauts et un premier jet de foutre, puissant, inonde le fond de ma gorge. Il se retire et se branle avec frénésie. Il en met partout, sur mon visage, sur mes cheveux et sur ma poitrine. Ça se calme et il se recule un peu, mais ça coule encore. Je vois qu’une goutte tombe au sol, je replace vite ma tête, bouche grande ouverte. Il bafouille, “toi, ho, toi” et verse la toute fin sur ma langue. J’ai réussi, chouette. La queue, encore en main, il me gratifie d’un grand sourire et d’un merci. Merci, que je lui rends. Il me demande si je viens souvent, une fois le mois, lui réponds-je. “Je suis tombé sur le bon jour” me dit-il. Après deux, trois autres mercis, il part se rhabiller. Je reste un peu allongée, je sens que ça dégouline sur ma joue gauche. De ma langue, je récupère le sperme coincé entre mes dents et j’analyse. Le goût, est assez léger, peu salé et peu âcre, facile à avaler. La texture, plutôt liquide. Ce n’est pas de la grande qualité, mais il y avait la quantité. Alors que j’allais me relever pour prendre une douche, je Vous entends me dire quelque chose comme “mmmh, garde ce foutre sur ton visage, montre au monde la pute que tu es, Ma pute”. Bien reçu, Maîtresse. Je me remets debout. Le rougeot, en tenue de ville, vient me remercier à nouveau. Je le vois partir en claudiquant. Je crois avoir fait, au moins, un heureux. Je prends une petite douche, en faisant attention à ne pas me mouiller le visage. Puis, je fais un petit tour. Il ne reste plus que le couple, au comptoir. C’est toute fière que je passe auprès d’eux, la face couverte de foutre. Je remets mes vêtements et sors. J’allume ma clope et vais jusqu’au parking. Je doute que quelqu’un ait remarqué le sperme que je sens sécher sur ma trogne. Au fait, ma voiture n’a pas bougé, ouf…